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Histoire des Burgondes
du Vème au VIème siècle

L’origine

Les Burgondes, originaires de Scandinavie, arrivés depuis le IIème siècle en Poméranie, se déplacent vers l’ouest et s’installent sur les bords du Rhin, autour de Worms et de Mayence, terres accordées par l’empereur romain Jovin, pour fonder un royaume, vers 413.

Vers 435, Gondichaire, roi des Burgondes décide d’agrandir son royaume au détriment de l’empire et se jette sur la Belgique. Mais Aetius, général des Romains, aidé des Huns, arrête leur progression vers 435-436. Le roi Gondichaire ou Gunther et vingt mille de ses guerriers sont tués par les Huns, cet épisode inspira la chanson des Nibelungen.

Quelques années plus tard, vers 444, Aetius, leur refuse l’installation en Lorraine ou en Champagne, et leur ouvre une contrée plus lointaine, la Sapaudia dans l’actuel Genevois, pour gêner l’extension vers le sud des Alamans. Ils s’installent sur ces terres sous l’autorité de leur roi Gondioc (436-463), fils de Gondichaire. Aetius leur confère la qualité de fédérés. Les Romains ont déjà accordé cette qualité aux autres peuples germaniques précédemment installés en Gaule, c’est à dire aux Wisigoths et aux Francs.

Les Burgondes, vingt-cinq mille personnes, selon une majorité d’historien, s'établissent et se partagent les revenus des terres avec les autochtones (les Gallo-romains), selon une règle très régulière en ces temps là, deux tiers de l’impôt foncier et un tiers de la capitation pour les Burgondes. Les Burgondes sont minoritaires mais ils assurent la défense des terres contre les autres peuples barbares, c’est pour ce motif que la qualité de fédéré leur est attribuée. Les Romains utilisaient les peuples fédérés pour défendre la Gaule contre les invasions des peuples barbares.

Vers 445, Hilaire, évêque d'Arles, ami d’Aetius, va rendre visite à Germain, évêque d'Auxerre, et s’arrête à Besançon. Il réunit les évêques voisins, et décide de déposer Célidoine, évêque de Besançon, sous le prétexte que celui-ci aurait épousé avant son entrée dans l'Église, une veuve et aurait présidé à des exécutions. Célidoine se rend à Rome auprès du pape Léon, pour se défendre, et obtient satisfaction et retrouve son siège épiscopal.

En 451, les Huns sous la conduite de leur chef, Attila, traversent le Rhin et pénètrent en Gaule. Aetius avec l’aide des Wisigoths, des Francs et des Burgondes réussissent à les défaire à la bataille des Champs Catalauniques (dans l’actuelle Champagne). En se repliant, Les Huns pillent Autun, Besançon, Luxeuil et Mâcon avant de re-traverser le Rhin et de retourner en Europe de l’Est. 

Le premier royaume de Bourgogne - l’extension

Vers 457, de nombreux nobles gaulois, se révoltent contre les usurpateurs romains qui sont à la tête de l’empire, et offrent leurs cités aux rois burgondes, Gondioc et Chilpéric. C’est ainsi que Dijon, Langres, Chalon-sur-Saône, Autun, Grenoble, Lyon, le Valais et la Tarentaise se livrent aux Burgondes. Les rois burgondes bénéficient de l’appui du général en chef des Romains, Ricimer, beau-frère de Gondioc. Toutefois, Lyon est reprise par les troupes romaines, quelques mois plus tard.

Vers 460, les Alamans s’installent dans le nord de la Séquanaise, et notamment à Besançon et Mandeure.

En 463, à la mort de Gondioc, il laisse quatre fils, mais c’est son frère cadet Chilpéric (463-476) qui règne sur les Burgondes.

Chilpéric reprend l’extension du royaume et en 467, réussit à s’emparer définitivement de Lyon et de Vienne. Il quitte Genève pour établir sa cour à Lyon, et s’installe dans le palais du gouverneur romain.

Puis entre 469 et 475, l’extension se situe dans le Sud. Les villes de Valence, Avignon, Orange, Die, Cavaillon, Viviers et Embrun passent aux mains des Burgondes. C’est également à cette période que Chilpéric lutte contre les Wisigoths d'Euric et les défait à plusieurs reprises, mais il ne peut s’emparer d'Arles et de Marseille, l’accès à la mer échoue.

Le royaume Burgonde

Le Royaume Burgonde
En 472, Ricimer demande de l’aide à Chilpéric pour conquérir Rome. C’est Gondebaud, fils aîné de Gondioc, et neveu de Ricimer qui part à la tête d’une troupe de Burgondes. La ville est prise. Quelques mois plus tard, Ricimer meurt de maladie, et Gondebaud le remplace à la tête des armées romaines. Il proclame Glycère, empereur romain.

Puis en 474, Byzance envoie son candidat à l’empire, Gondebaud retourne en Burgondie.

Euric à la tête de ses Wisigoths ravagent la Provence vers 476, Chilpéric se dresse contre eux, mais doit s’incliner. Il meurt peu de temps après.

Cette même année, le dernier empereur romain, Romulus Augustule, est déposé par le barbare Odoacre. L’Empire Romain est terminé, les peuples germaniques acquièrent leur autonomie. 

La guerre fratricide

Chilpéric n’ayant pas de fils, le royaume est partagé entre les deux fils vivants de son frère Gondioc. Le troisième fils, Chilpéric le Jeune certainement assassiné par son frère Gondebaud, a laissé deux filles, Clotilde et Crona, qui sont emmenées dans la demeure de Gondebaud. Quant au quatrième fils, Godomar, il n’a pas laissé de trace dans l’histoire.

Gondebaud hérite de la majeure partie du royaume, notamment Lyon et tout le Sud. Godégisel hérite de la partie historique du royaume, avec Genève, et tout le Nord avec notamment, Langres et Chalon-sur-Saône. Les deux frères de confession arienne ont épousé des princesses franques ripuaires de confession catholique. Ces alliances leur permettent de s’appuyer sur le clergé et notamment l’épiscopat gaulois.

Godégisel doit lutter contre ses voisins, les Alamans, et les refoulent, vers 480, au Nord de l’actuelle Franche-Comté, au-delà de la trouée de Bâle, Besançon est incorporée dans le royaume burgonde. Le royaume des Burgondes s’étend du nord au sud, des Vosges à la Durance, et d’est en ouest, du cœur de la Suisse au Charolais.

De son côté, Gondebaud profite du conflit en Italie entre Odoacre, roi d'Italie, et Théodoric, roi des Ostrogoths, pour en 490, envahir la Ligurie et l'Émilie, et ramène des milliers d’esclaves qui vont travailler dans les champs burgondes.

L’année suivante, Clovis, roi des Francs Saliens vient demander à Gondebaud, la main de sa nièce Clotilde. L’accord est passé, et Clotilde, princesse chrétienne Burgonde, va devenir la première reine franque de l’histoire.

Théodoric sortit vainqueur du conflit italien, envoie vers 493 une ambassade à Gondebaud pour lui réclamer le retour des prisonniers. Un accord est trouvé, une partie des Liguriens est rachetée, et l’autre partie est échangée par le mariage de la fille de Théodoric avec le fils de Gondebaud. L’accord eut lieu, Sigismond fils de Gondebaud, épousa Ostrogothe, fille de Théodoric.

En 500, Godégisel trahit Gondebaud, en passant un accord secret avec Clovis, en lui demandant de l’aider à conquérir la totalité du royaume Burgonde et en contrepartie se reconnaît son tributaire.

Clovis déclare la guerre aux Burgondes, les deux armées se rencontrent près de Dijon, aux bords de l'Ouche. Gondebaud découvre la trahison de son frère, quant ce dernier change de camp avec ses hommes. Gondebaud se réfugie à Avignon, Clovis le poursuit mais il ne peut pas forcer l’entrée de la ville. Godégisel doit payer un tribut à Clovis, il lui donne l'Auxerrois et le Nivernais qui sont incorporés dans le royaume des Francs.

Godégisel s’installe à Vienne, mais vers la fin de l’année 500, Gondebaud qui a reçu des renforts des Wisigoths se présente devant Vienne. Il réussit à s’emparer de la ville, Godégisel se réfugie dans l’église, mais il est massacré par son frère. Ses enfants et son épouse subissent le même sort à leur tour, seule sa petite-fille Guntheuca, trop jeune échappe au massacre.

Une hache Burgonde

Une Hache Burgonde

Gondebaud devient le seul roi de la Burgondie unifiée. Il est l’auteur d’un code, appelé loi Gombette (lex romana burgundionum) qui fixe les règles à appliquer à ses sujets quelle que soit leur origine. Il conserve aux uns et aux autres les juges de leur nation et certaines de leurs lois que la loi Gombette n’abrogeait pas. Voici quelques-uns uns des articles de cette loi :

  • Il confirme les anciens partages des terres.

  • Il ordonne de respecter les ecclésiastiques ainsi que leurs propriétés.

  • Il recommande d’exercer l’hospitalité, ce qui consiste à donner le feu et le couvert aux gens de passage.

  • Il accorde aux habitants qui n’ont pas de bois en propre, le libre usage des arbres morts.

  • Il accorde le rôle héréditaire des terres données par le roi à l’un de ses sujets. C’est sur cet article que se bâtit la féodalité.

  • Il ordonne que si un homme refuse la dette ou le serment de son adversaire, les débats cessent, et si l’un et l’autre consentent à faire connaître la vérité par le sort des armes, il faut leur accorder le combat : le jugement de Dieu. C’est sur cet article que les duels sont instaurés, et il faut attendre mille ans pour qu’il soit abrogé.

Outre la codification des lois, Gondebaud organise son royaume. Il favorise la fusion des habitants gaulois et burgondes, qui se sentent unis autour d’un même roi et d’une même entité. Les mariages entre les deux peuples se réalisent dans toutes les couches sociales, et donnent naissance à une nouvelle société. C’est aussi à cette époque que des clercs fabriquent le mythe du cycle de Bourgogne, en rattachant artificiellement les saints bourguignons du IIème et IIIème siècles dans une même logique d’union. Or tous ces personnages, avaient un seul point commun, la transmission de leur foi, mais pas de contact entre-eux. Le roi provoque aussi des débats théologiques entre les prêtres ariens et catholiques. Il inspire à se convertir mais ne le fera jamais. Il soutient son épouse Carétène qui fait construire une église dédiée à saint-Michel à Lyon.

Le partage du royaume et la conversion de Sigismond

Vers 505, Gondebaud attribue à son fils aîné Sigismond un royaume sur les terres ayant appartenues à Godégisel. Cette action est contraire aux coutumes burgondes, en effet la succession sur le royaume s’effectue à la mort du roi et entre tous ses fils. Or Gondebaud est encore vivant, et son fils cadet, Godomar est exclut de cette transmission. Gondebaud fait hisser son fils sur le pavois et le fait applaudir par l’armée pour entériner sa décision. La scène se déroule près de Genève.

Cette même année, Sigismond obtient de son père l’accord de se convertir au catholicisme. Il reçoit les sacrements d'Avit, archevêque de Vienne. Sigismond est bien le premier roi barbare en Gaule à embrasser la religion catholique, Clovis sous l’action de son épouse Clotilde se convertira quelques mois plus tard à Reims, le jour de Noël 506.

Sigismond se rend en pèlerinage à Rome où il rencontre le pape, puis sur le chemin du retour s’arrête à Ravenne, dans la capitale de son beau-père, Théodoric l’Ostrogoth.

En 507, c’est la guerre pour la conquête de la Gaule qui va opposer Francs et Burgondes, contre Wisigoths et Ostrogoths. Clovis et son cousin par alliance Sigismond concluent une entente contre Alaric II, le Wisigoth. Les deux cousins qui viennent de se convertir, expliquent leurs gestes par une croisade contre les Ariens, mais en fait, les Francs veulent s’installer au sud de la Loire et les Burgondes en Provence. Sigismond rejoint Clovis à Vouillé près de Poitiers, la coalition franco-burgonde sort vainqueur, Alaric est tué, ses troupes se dispersent. La conquête du royaume wisigothique commence, Bordeaux, Toulouse et Narbonne tombent aux mains des vainqueurs de Vouillé, aidés par Gondebaud qui les a rejoint.

Les trois rois retournent dans leur royaume, mais une partie de leur troupe vient faire le siège d’Arles. Mais la ville ne cède pas et en juin 508, Théodoric l'Ostrogoth passe à l’offensive, il déloge les troupes franco-burgondes autour d'Arles, reprend Narbonne, annexe la Provence. Puis il entreprend la conquête du royaume Burgonde et s’empare d’Avignon, de Viviers, d’Orange et d’Embrun et s’avance jusqu’à Valence.

Gondebaud et Sigismond doivent signer une paix humiliante pour arrêter la conquête ostrogothe, en 509.

L’année suivante, Gondebaud se voir restituer Avignon et reprend Viviers.

En 515, Sigismond fonde le monastère de Saint-Maurice à Agaune (dans l’actuel Valais suisse), avec l’aide des moines de Saint-oyend, et de Romainmôtier. Ce monastère est dédié à saint Maurice, et le premier abbé est Hymnémode d’origine burgonde. 

Les erreurs de Sigismond et les interventions des Francs

À la mort de Gondebaud en 516, Sigismond est dans une position confortable, il est le gendre du roi Théodoric l’ostrogoth, le cousin de la reine des Francs, Clotilde ; Il a le soutien des ecclésiastiques : Avit de Vienne et Maxime de Genève. Il fait convertir au catholicisme ses deux enfants, Suavegotta et Sigéric. Peu après il marie sa fille Suavegotta avec Thierri, fils aîné de Clovis. Thierri issu d’une première épouse de Clovis n’a pas de lien de parenté avec sa future femme, il règne dans le Nord-est du royaume franc, la future Austrasie.

En 517, l’archevêque Avit de Vienne réunit un concile des 24 évêques de Burgondie, dont l’évêque Claude de Besançon, à Épaone (aujourd’hui saint-Romain d'Albon), près de Chambéry, pour discuter des conséquences de l’arrivée d’un roi catholique à la tête du royaume. Toutefois, les évêques catholiques se montrent conciliants envers les Ariens, pour ne pas brusquer une grande partie de la population encore attachée à son culte.

L’alliance avec les Francs, se renforce avec le mariage de Clodomir, fils de Clotilde et de Clovis, avec Guntheuca, petite-fille de Godégisel. Mais ce mariage au lieu de rapprocher les deux familles royales, va les déchirer. Guntheuca, arrivera à convaincre son mari, de venger la mort de ses parents, tués par le père de Sigismond.

Tout commence, en 522, quant à l’instigation de sa seconde épouse, qui vient de se fâcher avec son beau-fils, fait croire à son mari, qu’il veut renverser son père, alors Sigismond sans enquête, fait assassiner son fils Sigéric. Le roi ne tarde pas à comprendre, qu’il vient de commettre à la fois un crime d’infanticide horrible, une injustice, et une erreur politique. Pris de remords, il se retire au monastère d'Agaune dans la douleur et la pénitence.

Mais voilà, Clodomir, roi des Francs d'Orléans, certainement poussé par sa femme, se jette en 523, sur le royaume burgonde en plein désarroi. Sigismond et son frère Godomar sont vaincus, le second va se cacher dans les Alpes, le premier se réfugie en direction du monastère de Saint Agaune, poursuivit par Clodomir. Le roi Burgonde sentant que la partie est perdue, décide de se tonsurer et d’entrer définitivement au monastère, mais il est trahit et livré par les siens au roi Franc. Sa famille subit le même sort, sa seconde épouse et ses enfants sont apportés à Clodomir.

Clodomir emmène ses prisonniers dans son royaume, mais après quelques mois d’emprisonnement, il les fait périr, en 524, en les décapitant puis en jetant leur corps dans un puits près d’Orléans. Par ce geste, on peut voir la main de Guntheuca qui parachève sa vengeance. Clotilde, la mère de Clodomir, assiste impuissante à la mort de son cousin Sigismond.

Pendant ce temps, Godomar (524-534), le frère de Sigismond, lui succède comme roi des Burgondes. Il reprend les places fortes occupées par les Francs, avec l’aide de troupes Ostrogothes. Clodomir certainement séduit par sa première victoire, se lance dans une nouvelle conquête du royaume Burgonde. Mais cette fois, la victoire change de camp, la rencontre se situe en juin 524, à Vézeronce (dans l’actuel département de l'Isère), et s’achève par la défaite des Francs ou Clodomir trouve la mort aux combats. Les trois fils de Clodomir disparaissent de la scène politique. Deux sont massacrés par leur oncle Clotaire, et le troisième devient moine, et sera connu plus tard sous le nom de saint Cloud. Pauvre Clotilde, c’est maintenant son fils et ses petits-fils qui meurent. Clotaire épouse la veuve de Clodomir et récupère les terres de son frère. Pendant ce temps, Théodoric en profite pour annexer avec ses Ostrogoths le sud du royaume Burgonde, vidé de ses soldats.

Le royaume Burgonde est affaibli, Godomar convoque à Ambérieu-en-Bugey une grande assemblée de son peuple, pour décider des actions à conduire pour le renforcer.

En 532, Clotaire et Childebert, les deux frères de Clodomir se lancent à la conquête du royaume burgonde. La bataille a lieu a Autun où Godomar s’est enfermé. Les Francs conduisent le siège de la ville, mais celle-ci tombe qu’au bout d’une année. Godomar a réussi à s’en fuir. Les deux frères ne poursuivent pas leur conquête et retournent dans leurs royaumes.

Mais l’année suivante, en 534, les deux frères accompagnés de leur neveu, Théodebert, roi d'Austrasie, envahissent la Burgondie. On ne connaît pas le nom de la bataille décisive, mais cette nouvelle campagne des Francs amène, la destruction définitive et le partage du royaume burgonde entre les rois Francs. Godomar est déposé, mais reste libre jusqu’à sa mort. Les Burgondes se soumettent à la domination des Francs et passent sous l’autorité de la monarchie mérovingienne.

La partie Nord de la Burgondie (Langres, Besançon, Autun, Chalon-sur-Saône, Nevers) fait partie du lot de Théodebert roi d'Austrasie, fils de Thierri; le centre (Mâcon, Genève, Lyon, Vienne) est donné à Childebert; et le sud (Grenoble, Die, Valence) est doté à Clotaire.

En 535, les corps de Sigismond, de son épouse et de ses enfants sont extraits du puits ou ils ont été précipités et sont inhumés à Saint-Maurice d’Agaune, près de l’abbaye. La vocation de ce lieu comme pèlerinage va commencer.

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